Victor, je t'emprunte quelques secondes ton blog pour faire part, aux visiteurs de ce dernier, une cause qui m'est importante et qui devrait l'être pour tout le monde : la Fourrure.
La fourrure, du moment qu'elle est portée sur l'animal, tout est normal, mais depuis toujours l'homme l'emprunte ( assez violemment, il faut le dire ) aux animaux. A l'origine, c'était pour servir de manteau, pour avoir chaud. Ce qui est compréhensible. Mais à ceci s’ajoutait le manque de sensibilité et de civilisation de ces hommes ( je parle des hommes préhistoriques, ou moyenâgeux ).
Depuis, l'être humain a réussi à développer une industrie, de nouveaux moyens de produire et de productions, et donc de nouveaux tissus, qui tiennent autant chaud que de la fourrure. Mais cette dernière est devenue un produit de luxe, et est très portée quand même ou si ce n’est pas le cas, elle fascine l’homme contemporain, car elle est symbole de réussite sociale ( tu parles d’une réussite ! ).
Si elle n’était qu’un produit, issu des conditions les plus banales, sans rien à se reprocher, le débat s’arrêterait là, net, sans mutineries. Mais malheureusement pour les industries de fourrures, ce n’est pas, et de loin, le cas ! La fourrure est digne des plus grandes tortures, des plus grandes souffrances. Et ça, beaucoup de gens l’ignorent.
En effet, les industries étouffent l’affaire. En même temps, si les hommes l’apprenaient, ceux possédant un cœur de chair, et non de pierre, seraient obligés de vomir, dans un premier lieu, puis de rejeter définitivement l’idée de porter de la fourrure. ..Et c’est pour cette raison que je suis ici, vous éveiller les esprits, les terreaux vierges qui ne demandent qu’à recevoir semence. C’est pourquoi, je vais vous faire part des souffrances subies par les animaux, pour cette industrie Babylonienne.
Comme on s’en doute ( enfin j’espère, j’espère que la télé ne nous a pas entièrement retiré toute sensibilité ) retirer la fourrure d’un animal est très douloureux. Avant d’arriver à cet ultime sacrifice, il y a d’autres épreuves que doit subit la pauvre bête. Tout d’abord, elle est stockée vulgairement et ses conditions de détentions sont horribles. N’ayant pas moi-même été sur le terrain, je préfère citer un extrait d’article provenant de one-voice.fr, traitant de la fourrure, et plus précisément sur les conditions de détentions des visons :
Des conditions de vie indignes
Les visons, par exemple, vivent dans de vastes espaces où l’eau est très présente puisqu’ils y passent 75 % de leur temps. Dans les fermes, ils sont détenus dans des cages grillagées sur pilotis, exposées au soleil le plus ardent comme au gel le plus mordant, avec pour tout point d’eau un petit abreuvoir. Des cages où le seul exercice qui leur soit possible consiste à tourner en rond jusqu’à la folie. En 2001, une étude de l’Union européenne montrait déjà que les cages ne correspondaient pas aux besoins des animaux. Aujourd’hui, rien n’a changé.
Ainsi, comme on peut le constater, les conditions de vie des visons sont presque autant cruelles que celles des Êtres Humains Français emprisonnés ( cruauté, quand tu hantes les hommes de pouvoir ). Même si l’exemple n’était pas ahurissant, il ne faut pas oublier que les Chinchillas, Hamsters, Souris, Renards, Lapins, Lynx, CHATS, CHIENS (…) sont aussi traités de la même manière.
Mais ce n’est pas tout, après avoir vécu dans des conditions de vie de merde ( il faut le dire ), les animaux sont mis à mort. Ce sacrifice répugnant se fait par électrocution ou par égorgement, même si ce dernier n’est pas favorisé, non pas par rapport à la souffrance subie par l’animal, pour la limiter ( non, faut pas déconner, ce serait pas marrant si l’animal ne souffrait pas ), mais tout simplement pour éviter de tâcher le pelage. Bref, ce n’est pas tout. L’assassinat se fait devant les congénères de la bête sacrifiée pour le dieu Argent, ce qui augmente le stress, et donc la souffrance au final.
Ce n’est pas tout, après, dernière étape, il y a le dépeçage. Alors, là, c’est le paroxysme du dégueulasse. C’est tout simplement digne des plus grands arriérés du ku klux klan (KKK), ou du parti nazi ( va ! je ne mets pas de majuscule à ces noms, ils n’en valent pas la peine ). Sérieusement, il faut être rempli de haine à en déborder pour faire ces actes. Comme on s’en doute, le dépeçage consiste à enlever la fourrure ( et donc la peau avec ) de l’animal. Ce dernier étant le plus souvent encore vivant…
Comme on a pu le voir, l’élevage des animaux pour la fourrure est quelque chose d’horrible. Je vous propose de clore cet article avec une vidéo. Je vais faire mon papa-poule, je sais, mais je déconseille cette vidéo aux personnes étant trop sensibles.
C’est sur toi que repose la vie de ces animaux, oui de toi seul. Si tout le monde dit NON à la fourrure, la boycotte, et se plaint : ce fléau mourra ! Tu peux commencer le combat en cliquant ici (http://www.fourrure-torture.com/petition-anti-fourrure.html ) et en signant cette pétition… Merci d’avoir lu cet article. A bientôt !
Gabriel Seigner
http://www.facebook.com/gseigner
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Depuis, l'être humain a réussi à développer une industrie, de nouveaux moyens de produire et de productions, et donc de nouveaux tissus, qui tiennent autant chaud que de la fourrure. Mais cette dernière est devenue un produit de luxe, et est très portée quand même ou si ce n’est pas le cas, elle fascine l’homme contemporain, car elle est symbole de réussite sociale ( tu parles d’une réussite ! ).
Si elle n’était qu’un produit, issu des conditions les plus banales, sans rien à se reprocher, le débat s’arrêterait là, net, sans mutineries. Mais malheureusement pour les industries de fourrures, ce n’est pas, et de loin, le cas ! La fourrure est digne des plus grandes tortures, des plus grandes souffrances. Et ça, beaucoup de gens l’ignorent.
En effet, les industries étouffent l’affaire. En même temps, si les hommes l’apprenaient, ceux possédant un cœur de chair, et non de pierre, seraient obligés de vomir, dans un premier lieu, puis de rejeter définitivement l’idée de porter de la fourrure. ..Et c’est pour cette raison que je suis ici, vous éveiller les esprits, les terreaux vierges qui ne demandent qu’à recevoir semence. C’est pourquoi, je vais vous faire part des souffrances subies par les animaux, pour cette industrie Babylonienne.
Comme on s’en doute ( enfin j’espère, j’espère que la télé ne nous a pas entièrement retiré toute sensibilité ) retirer la fourrure d’un animal est très douloureux. Avant d’arriver à cet ultime sacrifice, il y a d’autres épreuves que doit subit la pauvre bête. Tout d’abord, elle est stockée vulgairement et ses conditions de détentions sont horribles. N’ayant pas moi-même été sur le terrain, je préfère citer un extrait d’article provenant de one-voice.fr, traitant de la fourrure, et plus précisément sur les conditions de détentions des visons :
Des conditions de vie indignes
Les visons, par exemple, vivent dans de vastes espaces où l’eau est très présente puisqu’ils y passent 75 % de leur temps. Dans les fermes, ils sont détenus dans des cages grillagées sur pilotis, exposées au soleil le plus ardent comme au gel le plus mordant, avec pour tout point d’eau un petit abreuvoir. Des cages où le seul exercice qui leur soit possible consiste à tourner en rond jusqu’à la folie. En 2001, une étude de l’Union européenne montrait déjà que les cages ne correspondaient pas aux besoins des animaux. Aujourd’hui, rien n’a changé.
Mais ce n’est pas tout, après avoir vécu dans des conditions de vie de merde ( il faut le dire ), les animaux sont mis à mort. Ce sacrifice répugnant se fait par électrocution ou par égorgement, même si ce dernier n’est pas favorisé, non pas par rapport à la souffrance subie par l’animal, pour la limiter ( non, faut pas déconner, ce serait pas marrant si l’animal ne souffrait pas ), mais tout simplement pour éviter de tâcher le pelage. Bref, ce n’est pas tout. L’assassinat se fait devant les congénères de la bête sacrifiée pour le dieu Argent, ce qui augmente le stress, et donc la souffrance au final.
Ce n’est pas tout, après, dernière étape, il y a le dépeçage. Alors, là, c’est le paroxysme du dégueulasse. C’est tout simplement digne des plus grands arriérés du ku klux klan (KKK), ou du parti nazi ( va ! je ne mets pas de majuscule à ces noms, ils n’en valent pas la peine ). Sérieusement, il faut être rempli de haine à en déborder pour faire ces actes. Comme on s’en doute, le dépeçage consiste à enlever la fourrure ( et donc la peau avec ) de l’animal. Ce dernier étant le plus souvent encore vivant…
C’est sur toi que repose la vie de ces animaux, oui de toi seul. Si tout le monde dit NON à la fourrure, la boycotte, et se plaint : ce fléau mourra ! Tu peux commencer le combat en cliquant ici (http://www.fourrure-torture.com/petition-anti-fourrure.html ) et en signant cette pétition… Merci d’avoir lu cet article. A bientôt !
Gabriel Seigner
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